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Pierre Leconte


Père-Cent de la promotion 1961-1964 - Page 3

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MESSIEURS LES MÉCANICIENS

BEAUFILS : Il nous ferait l'éloge de Madame Berthe SILVA
Si à tous les instants il ne bafouillait pas.

BELAVAL : « Grande gueule », au volley il peut s'époumoner
Car de compter les points fut sa spécialité.

LE BERRE : Par ses smatches au volley fera grande carrière
S'il refreine au plus tôt sa passion pour la bière.

BORDERIE : De nous amuser tous, souvent il s'est chargé,
Mais de chansons yé-yé nous a cassé les pieds.

COULON : Avec sa « demi-tonne » le voilà qui s'avance,
Devant notre infirmière qui craint pour sa balance.

DEGRAEVE : Comme on l'avait trouvé méritant et correct,
Il est allé se faire admirer chez les grecs.

DUROZIER : Regardez-le, écoutez-le, vous comprendrez
Que toutes ses inventions ne sont que feu-follet.

FLAZINSKA : C'est un « homme des bois » venu du fond des steppes
Qui, comme gardien de but, se croit une vedette.

GALLINA : Afin de compenser la taille qu'il lui manque,
Il aboie sans arrêt et joue les forts en langue.

GLANDIERES : (Gland), il l'était hier, il est encore
Mais au volley il se redorre.

GUELLERIN : De la Marie il s'est très fréquemment moque,
Mais quoi qu'il puisse en dire il l'envie en secret.

GUÉNARD : De l'autruche l'on croit qu'il est un descendant,
Cartoujours à la course il nous met dans le vent.

JOSSEAUME : Ce petit plaisantin, s'il se met à « draguer »
Quand vous êtes avec lui, mieux vaut vous éloigner.

LEGER : Ne parlez pas de « gym » c'est là sa bête noire
Mais ne l'oubliez pas, s'il faut dormir ou boire.

LIEBY : Si pour oeuvrer, les profs ne l'avaient derangé,
A dormir, tous les jours, il aurait besogné.

MOREAU : Vous verrez les ravages qu'ont fait l'alco...olisme,
Sur ce petit poète épris de romantisme.

LE PAPE : Il connaît à ravir les détails structuraux
Du « Tupolev 104 » et des « Marcel Dassault »

PETIT J.P. : Estimant ses copains bien trop évolués,
Il pensa qu'en Afrique il se distinguerait

PHIPPAZ : La contrebande était pourtant sa vocation,
Qu'est-il donc venu faire ici dans l'aviation ?

PICCININI : Bien que Corse, au judo il parait fort doué,
C'est toujours Waterloo lorsqu'il vient au volley.

POULLY : Il s'est dévergondé, ce jeune à peine éclos,
Depuis qu'il mange avec les « durs » (sic) de la Promo.

RIQUEBOURG : Il penche, il tangue, on croit qu'il va tomber,
N'ayez peur, sur ses pieds il est bien arrimé.

RIVOIR : Les médisants diront que pendant ces trois ans,
« HERISSON » se plaisait à rouler bien souvent.

TEMPLE : Si anticonformiste, il est très acharné,
Pourquoi supporta-t-il quatre ans de C.I.V.

THIEBAULT : Que tous les malabars viennent s'incliner devant,
Celui qui, d'un seul bras, fit « péter » son cardan.

Ils furent trop nombreux, ceux qui, pour des rivages meilleurs, nous ont quitté, laissant la l'esclavage : BOUBILA, BOUCHE, CROISET, DESCAMPS, ECCHAULT, FOUCACHON, KOHSER, LOUAPRE.


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