Bravo pour cette page où j'ai eu l'impression de revivre mes exploits dans le même contexte à Brive-Laroche en 1965 ! je n'ai jamais pensé à en faire une page Web, quelle superbe idée ! félicitations pour le soin apporté tant au niveau documentation que réalisation !
Même matériels à Brive, sauf N1100 au lieu d'Emouchet, Brevet de base sur D112 et Brevet C sur N1100, remorquages Morane 230 (pilotes Bretonnière et Béalu), et comme c'est le sud, quelques rencontres inoubliables : Marcel Amont en tournée sur son Jodel, Jean-Marc Tenberg (RIP) sur Stampe.... une bataille de purée mémorable au "mess" où nos célébrité n'étaient pas en reste, une initiation voltige, sur Stampe SV4C (hoooouhhhhh !), la même "B2", allumage magnéto, sans carossserie, démarrage manivelle et 25l/100 pour le ramassage des planeurs.... bouhh ! quels souvenirs !!! très peu de photos personnelles malheureusement...
et aussi un C2000 (superbe ! sortant de restauration et cassé 3h plus tard par un pilote professionnel 12.000h de vol... pas verrouillé la commande d'aéros-freins !)
Bi-jave aussi, et d'autres en composite (le début !)
=> appel à témoins : Brive-Laroche été 1965, y étiez-vous ?

Beau travail je vous félicite

Chapeau, quel magnifique travail, cela impose le respect. Que de rappels des cours d'électromécanicien. Tombé par hasard sur votre site pour des infos sur le super G, je suis émerveillé, abasourdi! Partis avec mon fils dans un délire de réalisation d'un simulateur de vol à base de super G que d'infos, que de détails insoupsonnés! Pour quelqu'un qui n'a pu assouvir sa passion pour les moteurs d'avion par déficiance physique (l'armée de l'air n'a pas voulu de moi en 64) quel bonheur pur! J'ai encore le bruit dans mes oreilles de gosse des quatres moteurs qui vrombissaient sur ma tête à la fin des années cinquante en direction du Bourget ou d'Orly (le cap était différent). Merci, merci, merci encore.
Pascal de Rouen

Article concernant la catastrophe du vol Paris-Saïgon en date du 1er septembre 1953, soyez aimable de corriger le nom des passagers de SAUZER en de SAUZÉA. Merci pour eux. Cordialement.

Une recherche impromptue sur le net, et voilà je vous vois, Sauflean Paul... Darieu... Pic..., ému...
Mon mail figure, sinon tel af, avec plaisir, suis responsable de hangar sur toussus... annnexe de "feu" vilgé....

RV

La Fauvette mentionnée avec le super Javelot dans une photo est en réalité un Bréguet 900.

Bien à vous, Albert

bonjour,

Je possède une hélice ancré dans mon atelier que j'ai ressortie et à ma grande surprise quelques personnes prétendent que celle-ci à une certaine valeur historique
quelques informations que je peux vous transmettre et éventuellement vous adresser quelques photos :
signature : C DE LAMBERT N° 10 ou 0 ? serie 872
RN 450 HP - probablement hélice hydravion - si éventuellement d'après ces numéros vous pourriez avoir d'autres renseignements je suis preneur. merci cordialement

Bonjour, J'étais de la promo 45/48,
Bravo pour le travail que vous avez fait.
En 1945 c'est nous qui aprés un court passage au chateau de MONJEAN avons innoguré les baraquements, et si mes souvenirs sont exacts, nous avions des poeles à bois pour nous chauffer. Cet hiver là à la veille de notre départ pour les vacances de Noël la promo 46/49 nous avait attaqué avec des seaux d'eau chaude qui gelait dés qu'elle touchait le sol
J'en conserve un souvenir innoubliable de cette époque.
Je n'ai plus de contact avec les copains de notre promo.
Merci encore pour votre site qui me rappele de bons souvenirs.

Retraité de la grande maison après près de 40 années. Entré en 48 comme chaudronnier, agent technique puis agent de maitrise. Ce site très bien construit, tout ce qui concerne les Constel's sur lesquels j'ai travaillé, les commentaires et les dialogues sont excellents et d'y trouver le récit de Pierre qui, ami dés l'origine de Manuel DIEZ, fut par la suite à l'ordonnancement B707 en compagnie de Manuel DIEZ également mon chef et mon ami. Une anecdote sur le Breguet : en 1955 détaché à ALGER pour renforcer les dérives des Breguets, ces dernières étant trop élevées, ne pouvaient passer les portes du hangar. Pour ce faire ont utilisait un tracteur bricolé localement au centre avec qui à l'aide du train AV levait le nez de l'avion et poussant celui ci faisait passer les dérives sous les portes, puis remettait tout en ligne, rebelote pour sortir. Salut à tous et amitiés à Mannix

Bravo pour ce site sur Air France, Mécano pendant 9 années dans la grande "maison", je suis parti en 2005 pour me consacrer aux petites machines d'aéroclub.
Une petite info, le T6 F-AZEZ qui figure dans la liste des avions de l'école de Vilgénis vole régulièrement depuis plusieurs années sur un terrain de l'ouest parisien.
Racheté à l'école et méticuleusement remis en état par une bande de copains pendant une quinzaine d'années.
J'ai la chance de pouvoir voler sur cette machine chargée d'histoire !
MARC