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Ma Bibliothèque Aéronautique

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L'Illustration
Numéro de l'Aviation - 7 juillet 1928
(86e année - Numéro 4453)

NOTRE COUVERTURE :
CATHÉDRALE ET « CATHÉDRALES »

La photographie dont notre couverture est un agrandissement partiel a été prise en avion par l'Aéro-Photo. Elle représente Chartres, sa cathédrale fameuse, enfin la campagne environnante où est précisément installé - aux abords de la ville - un important terrain d'aviation militaire. Pendant la guerre déjà, le langage imagé des équipages et des mécaniciens avait baptisé « cathédrales » les grands hangars démontables dont les membrures imposantes évoquaient la charpente des nefs et des voûtes d'église. À plus forte raison peut-on appliquer le terme aux vastes arches de béton qui équipent aujourd'hui le terrain de Chartres, non loin de la cathédrale authentique.

Table des matières et des photographies

• Photo : Pleine page intérieure. L'envolée de l'hydravion. Sur la Seine, à Sartrouville, un grand bimoteur CAMS de 1000 CV monte du fleuve dans l'atmosphère humide d'un matin d'été. Nous avons fait figurer, à la page 1 de ce numéro, l'image d'un grand hydravion bimoteur, montant du fleuve dans une ambiance de lumière, d'eau et de verdure qui compose à cette ascension une atmosphère assez émouvante. D'abord cette image, prise par le service spécial de la revue l'Aéronautique, est belle. Il se trouve, de plus, qu'elle évoque opportunément, dans ce numéro où l'avion lui-même a plus de place que l'aéronautique marchande. l'effort de nos entre-prises de transports aériens réguliers. Les premiers de ces grands C.A.M.S., à deux moteurs « Jupiter » démultipliés de 480 CV chacun, sont en effet destinés aux étapes actuellement desservies par hydravions de la ligne aéromaritime « France-Amérique du Sud ».
• Promenade à l'Exposition de l'Aéronautique au Grand Palais.
• Photo : Un coin du Salon de l'Aviation au Grand Palais
  Sous le vélum léger dont la disposition et les tonalités sont, cette année, particulièrement heureuses, on distingue, au premier plan, le multiplace Amiot 122 ; derrière lui, et à droite. l'avion marin Levasseur à fuselage-coque étanche ; plus à droite encore, barré de bandes tricolores où s'inscrivent ses itinéraires, le Breguet 19 Nungesser-Coli, de Coste et Le Brix.
• Photo : Dans la galerie, à l'écart de la grande nef : trois avions de sport et de tourisme
  Au premier plan, le biplace Bourgois, à moteur de 35 CV puis le monoplace Albert, à moteur de 40 CV ; enfin l'avion biplace léger Peyret, à voilure en tandem : on peut regretter que l'emplacement un peu retiré dont ces appareils disposent n'attire point à eux la foule des visiteurs.
• Photo : Un remarquable exemple de finesse aérodynamique et de pureté des formes
  Le monoplace militaire Bernard 20 C, exposé au Salon, directement inspiré de la technique des avions de vitesse pure.
• Photo : Les aménagements de l'avion de transport économique Potez 32
  Cet avion, équipé d'un moteur Salmson 230 CV ou de tout moteur de puissance analogue refroidi par l'air, a été - avec l'Avimeta 92 - le premier avion français de transport correspondant à la classe des appareils américains « moyens » rendus célèbres par les vols de Lindbergh et de Chamberlin. On voit que, malgré cette puissance motrice réduite, l'aménagement du poste double de pilotage - installé en « conduite intérieure » - et de la cabine pour cinq passagers ne laisse rien à désirer. Il y a là un très intéressant effort dans la voie du haut rendement et de l'abaissement consécutif des prix de revient du transport.
• Photo : Le moteur « inversé » Farman 18 W.I. à réducteur et à compresseur mécanique
  On notera d'abord la disposition originale de ses cylindres. Ceux-ci, par le fait qu'ils sont tournés vers le bas, confèrent au moteur nombre d'avantages : accessibilité des organes, relèvement de l'axe de traction, adoption de propulseurs de plus grand diamètre. Il comporte en outre des dispositifs spéciaux pour la meilleure utilisation de la puissance développée (réducteur) et pour la conservation de celle-ci en altitude (compresseur mécanique) enfin à son haut régime correspond un poids réduit par cheval-vapeur.
• La fête Aérienne de Hendon.
• Photo : Vue aérienne de l'aérodrome de Hendon, le jour du grand « Display » de la Royal Air Force britannique
  Les avions qui doivent prendre part aux différents « numéros » du programme sont rangés dans une zone du terrain ; à droite, près du minuscule village simulé qui doit faire l'objet d'un bombardement aérien. Deux escadrilles sont placées pour un départ en formation.
• L'Aviation Privée.
• Photo : « Camping » d'aviateurs
  Cette séduisante image a été prise en Angleterre, dans la belle campagne du Wiltshire, près de Salisbury. L'avion, un petit Westland, s'est posé dans une prairie et a été amené au bord d'une rivière. L'air est calme ; s'il y avait du vent, les ailes seraient repliées et l'appareil amarré. Tout le matériel de campement est transporté à bord : tente, déjà dressée, bagages pour quinze jours, couchettes, petit fourneau, ustensiles de cuisine et de table, enfin un canot pneumatique qui est déjà gonflé et mis à l'eau pour la promenade. Le propriétaire, pilote expérimenté, tient à garder à tous ses voyages un caractère absolument privé et personnel ; il ne laisse pas publier son nom ; il considère l'emploi de l'avion de tourisme comme aussi normal - mais plus agréable et plus riche de vastes possibilités - que celui d'une automobile. Sa femme est le plus souvent son passager pour des vols qui, de la mi-juillet 1927 à mars 1928, ont représenté plus de 100 heures et 13000 kilomètres sans aucun incident, et qui ont conduit l'heureux équipage à travers l'Europe.
• Photo : Un avion léger de tourisme
  L'avion léger Caudron C. 109, rendu populaire par les voyages et les records de Thoret, de Finat, de Delmotte et de Knipping, reste - après quatre ans de services - un très intéressant petit biplace auquel suffit un moteur de 40 CV.
• Photo : Une voilure de sécurité
  M. Albessard, dans ce « triavion », terme actuel de quinze ans d'études, a réalisé une « voilure autostable » avec laquelle la redoutable « vrille » par perte de vitesse est impossible ; elle permet, de plus, des écarts de vitesse qui semblaient jusqu'ici le monopole des avions munis de l' « aile à fente ».
• Photo : Un atterrisseur de sécurité
  Cet atterrisseur « à chenilles », de modèle Vinay, doit permettre - si l'usage généralisé en confirme les essais heureux - d'atterrir sur des terrains non préparés et d'en repartir, la longueur de roulement à l'atterrissage étant notablement réduite et les obstacles ou coupures du sol étant « absorbés » par les chenilles.
• Photo : Un groupe de pilotes amateurs anglais devant les avions légers de leur club
  Le constructeur qui a mis au point cet intéressant avion léger biplace à moteur de 60 CV en construit actuellement plus d'un par jour, la plupart pour des particuliers. Il existe en Angleterre une quinzaine de ces « clubs d'avions légers », modérément subventionnés par l'État, aidés par les municipalités et des particuliers. Une seule de ces associations, le Hampshire Aeroplane Club, installée à Hamble, près Southampton, comptait, en juin dernier, près de cent candidats au brevet de pilote de tourisme. Pilotes et élèves-pilotes volent à leurs trais ; ceux-ci sont évidemment réduits, grâce aux subventions reçues, mais ils restent assez réels pour donner plus de valeur à ces vocations et - à notre avis - plus de portée à l'institution elle-même.
• Avions et hydravions de tourisme et de sport.
• Photos : Le biplace léger Klemm, monoplan sans haubans à moteur de 20 CV
  Un monoplan « parasol » biplace, de tourisme et d'entraînement, Morane-Saulnier
  Le biplace « estafette » Hanriot H. 46, aisément transformable en avion de tourisme
  L'hydravion de tourisme Lioré et Olivier 180, monté sur roues pour ses essais
  Nous avons groupé dans cette page quatre appareils de tourisme, ou susceptibles d'y être adaptés, qui diffèrent fort par leur technique et par les puissances motrices qu'ils emploient, et dont les caractères communs valent pourtant d'être soulignés. Tous quatre sont des monoplans ; pour trois, cette voilure monoplane ne comporte aucun hauban et forme un tout indéréglable, d'entretien aisé ; tous quatre ont des moteurs refroidis par l'air, un Mercédès pour le Klemm, des Salmson 120 CV ou 95 CV pour les trois autres, simplification très appréciable dans le cas de l'avion de tourisme et de sport. On notera l'heureux train d'atterrissage du Hanriot ; on remarquera, à propos de l'hydravion Lioré et Olivier, les vues dégagées qu'assure à l'équipage la surélévation du groupe moteur, selon une formule d'ailleurs parfaitement applicable à l'amphibie et à l'avion terrestre.
• Photo : Un avion de tourisme, ailes repliées, est remorqué en ville par l'automobile de son propriétaire
  L'avion n'est pas le populaire Tampier que son constructeur, voici quatre ans, promenait à travers Paris - et jusqu'à Montmartre - en pareil équipage. L'idée a fait son chemin, hors de France. Il s'agit cette fois d'un petit « De Havilland-Moth », appartenant à un club britannique d'avions légers.
• Avions de Raids et de Records.
• Photo : Le monoplan trimoteur Couzinet, destiné à une tentative de traversée transatlantique.
• Photo : Le Bréguet 19 spécial du capitaine Arrachart, véritable « avion-citerne », établi en vue du record de distance sans escale.
• Photo : L'avion Italien Savoïa S-64, détendteur des records de durée et de distance en circuit fermé.
• Les Monoplaces Militaires.
• Photo : Le monoplan « parasol » Dewoitine D-27.
• Photo : Le monoplan « parasol » Morane-Saulnier 221.
• Photo : Le monoplan « parasol » Wibault 130.
• Photo : Le « sesquiplan » Nieuport-Delage 72.
• Photo : Le biplan Blériot-Spad 91,
• Les Multiplaces Militaires.
• Photo : Le monoplan Dyle-et-Bacalan D. B.-10. à deux moteurs démultipliés de 480 CV.
• Photo : L'avion sesquiplan de raid Amiot-123, à un seul moteur démultiplié de 650 CV, derivé des types multipliées 120 et
• Photo : Le monoplan Blériot-127, à deux moteurs de 500 CV en prise directe.
• Les Grands Avions de Transport.
• Photo : Le biplan de transport au long cours Farman F.-180, à deux moteurs démultipliés de 500 CV, disposés en tandem.
• Photo : Un hydravion de transport Dornier « Superwal » à quatre moteurs démultipliés de 480 CV. Selon les règles internationales, les lettres peintes sur la caque identifient l'appareil, Qui appartient à une compagnie italienne
• Photo : L'avion de transport Junkers G.-31, à trois moteurs, lors de son premier voyage sur la ligne Paris-Berlin, à l'arrivée au Bourget
• Une route d'Hydraviation à travers la France.
• Photo : Un « amphibie » Schreck de grand tourisme, roues relevées.
• Photo : Deux hydravions de la Compagnie Aérienne Françalse se posant en Loire, à la Charité, escale et poste de ravitaillement officiels.
• Dirigeable et cargo.
• Photo : Un petit dirigeable da l'Aéronautique militaire américaine va s'amarrer à l'arrière d'un cargo.
• Photo : La nacelle du dirigeable prend contact avec la plate-forme du cargo où l'équipe de manœuvre procède à l'amarrage.
• Le Saratoga dans le Canal de Panama.
• Photo : Le porte-avions Saratoga, de la marine américaine, dans le canal de Panama.
• Photo : De San Francisco ( États-Unis) à Brisbane (Australie) en avion : le Croix-du-Sud a Honolulu, première étape de son raid transpacifique
• La première traversée aérienne du Pacifique.
• Photo : A bord du Croix-du-Sud devant les postes de f S F. et à radiogoniométrie : J. W. Warner, radiotélégraphiste du Southern Cross.
• Photo : L'équipage : J. W. Werner, radiotélégraphiste, américain ; Ch. T.P. Ulm, deuxième pilote, australien ; Ch. K Smith, chef de l'équipage, australien et H. W. Lyans, navigateur, américain.
• L'avion et la guerre chimique décrits dans l'Apocalypse.
• En Russie Soviétique, l'activité et les résultats de la propagande pour l'aviation.
• Les avions qui vont sur skis.
• Photo : Un vol en formation par des monoplaces Curtiss « Hawk » ou « faucons » auxquels les skis - remplaçant les roues - donnent une curieuse allure d'oiseaux de proie prêts à se poser.
• Photo : Pendant qu'atterrit - skis un peu cabrés - le dernier avion de la patrouille, pilotes et mécaniciens inspectent les appareils, Photographies prises lors des dernières manœuvres d'hiver, à Oskoda (Michigan).
• Une expédition de photographie aérienne en Alaska.
• Photo : Un des « amphibies » Loening de l'expédition, en vol devant la perspective des chaînes montagneuses où il « travaille ».
• Photo : Les « amphibies » au repos, amarrés dans une petite crique.
  Les roues d'atterrissage permettaient de tirer aisément les appareils hors de l'eau, après chaque journée de travail, pour les soustraire aux variations brutales toujours possibles dans l'état de la mer, du même coup, l'examen quotidien des fonds de coque était rendu facile.
  Photographies officielles de l'Aviation navale des États-Unis.
• Photo : La grande forêt proche de Ketchikan, dans l'île Revilla Gegido. Cliché permettant de déterminer les essences et le nombre moyen d'arbres par mille carré.
• Photo : Les eaux torrentueuses de la rivière Chicannin.
  Documents, officiels de l'Aviation navale des Etats-Unis.
• Le Sillage de l'hydravion.
• Photo : Le grand « Short-Singapore » de sir Alan Cobham, le puissant bimoteur qu'il a piloté tout autour de l'Afrique, sur 35.000 kilomètres, se pose dans les eaux anglaises, devant Plymouth. De l'avion qui lui fait escorte et qui rigoureusement le surplombe, cette image a été prise où s'inscrit le sillage inattendu de la nef volante, symétrique au point d'évoquer - en négatif - ces fleurs d'encre qui s'évanouissent du papier plié en deux et déplié. Le lecteur pensera à l'autre sillage, linéaire, tendu, continu, qui était celui du sous-marin récemment présenté dans ces pages. Si nous avions pu, pour le Singapore, montrer non cette image unique, mais un film, on aurait vu l'hydravion s'approcher de l'eau intacte, se redresser avant de l'atteindre, puis la frapper de deux ou trois ricochets amortis. Et c'est le premier de ces chocs doux qui ouvre l'eau et la rejette des deux côtés de la forte coque.
• Mosaïque terrestre : La rizière Indochinoise dans la province de Vinh.
• Photo : Cette image, prise rigoureusement dans la verticale, à 2800 mètres d'altitude, par un équipage de notre aviation coloniale, donne, sous la forme décorative d'un « cloisonné » géométrique, une idée juste des bas-pays indochinois. C'est, à perte de vue, ici à plein champ d'objectif, le damier de la rizière : cases de 20 à 50 mètres de côté, séparées par des levées de terre hautes de quelque 50 centimètres - ici, un simple liseré noir - qui permettent de régler l'irrigation et servent aussi de chemin quand le pays est inondé. Dans cette platitude découpée, les arroyos tracent des sinuosités nonchalantes.
  Cette photographie, avec beaucoup d'autres, fut prise au cours d'une de ces missions civiles - cartographie, travaux publics, cadastre - où notre aviation coloniale - militaire par définition et par nature administrative - trouve une de ses principales voies d'activité.
• Le monument de l'escadrille La Fayette dans le parc de Villeneuve-l'Étang.
• Photo : Au premier plan à gauche, la pièce d'eau du château de Villeneuve-l'Étang ; au fond les étangs du château de la Marche.
  Photographie prise, à 200 mètres d'altitude, par le capitaine Seive à bord du bimoteur Goliath piloté par l'adjudant-chef Lhert.
• Un prélat dans les airs.
• Photo : Le cardinal Luçon salué à sa descente d'avion par M. Henri Faillant.
• Dans le ciel de l'Île Rouge : Les conditions du travail aérien à Madagascar.
• Photo : Le Bréguet du commandant Dagnaux à Arivonimane
• Photo : Un hangar au champ d'aviaition d'Arivonimane
• Les drames de l'Océan Arctique.
• Photo : À la baie du Roi : le dernier départ de l'Italia avant la catastrophe
• Photo : Embarquement à la baie du Roi des approvisionnements et des peaux de renne destinés au compagnons de Nobile en détresse sur la banquise.
• Photo : Le capitaine suédois Lundborg (à droite), prisonnier dans les glaces après avoir sauvé Nobile
• À la mémoire de Pilâtre de Rozier.
• Photo : L'inauguration d'une plaque commémorative sur la maison natale de Pilâtre de Rozier, à Metz : le discours du maire, M. Vautrin.
• Les faits aériens de la semaine.
• La revue navale du Havre.
• Photo : Une escadrille d'hydravions survolant une flottille de sous-marins dont les équipages sont alignés sur le pont.
• Photo : Les torpilleurs Simoun et Ouragan en ligne de file dans le sillage du contre-tropilleur Jaguar
• Photo : À bord du croiseur-école « Jeanne-d'Arc ». Le président de la République, suivi de MM. Georges Leygues, Fernand Bouisson, Tardieu, Perrier, passe devant l'état-major du croiseur, qui lui est présenté par le capitaine de vaisseau Darlan, commandant.
• La route et les vacances.
• Notre industrie aéronautique.
• Photo : L'aéroprt du Bourget (Vue prise en avion)
• Compagnie Générale Aéropostale.
• Compagnie Aérienne France-Algérie.
• Photo : Hydravion Laté 22 naviguant en surface.
• Les avions Bréguet.
• Photo : Un spendide appareil commercial : La limousien Bréguet 280 T
• Avions Loire-Gourdou-Leseurre.
• Photo : Avion de chasse L.G.L 341 à moteur Hispano-Suiza 600 CV.
• Lioré et Olivier.
• Photo : L'avion de bombardement LeO 20 Bn3, en service dans l'armée française.
• Les avions et hydravions Latécoère.
• Photo : Hydravion type Latécoère 32.
• Photo : Avion type Latécoère 25.
• Les avions Levasseur.
• Photo : L'avion torpilleur-bombardier P Levasseur.
• Société Provençale de Constructions Aéronautiques.
• Photo : Hydravion Paulhan-Pillard décollant de la mer.
• Photo : Hydravion éclaireur E-5 Paulhan-Pillard en vol.
• Aéroplanes Henry Potez.
• Photo : Vue générale des usines Potez et de leur aérodrome de Méaulte (Somme).
• Les moteurs Lorraine.
• Photo : Circuit de l'europe occidentale, en août 1927 : 8000 kilomètres en 47h 30 d'absence. Le commandant Weiss et le sergent Assolant à Cracovie.
• Photo : Circuit méditerranéen en septembre 1927 : 10850 kilomètres en 6 jours d'absence. Pelletier-Doisy et ses compagnons, l'ingénieur Gonin et le mécanicien Vigroux, à Tunis.
• Photo : Trois moteurs Lorraine. De ggauche à droite : le 450 CV à réducteur, le 470 CV à refroidissement par air, le 650 CV à réducteur.
• Photo : Paris-Saïgon, en octobre 1927 : 12000 kilomètres en 9 jours. Le capitaine Challe et son mécanicien Rapin à leur départ du Bourget.
• Photo : Le circuit transafricain du capitaine de corvette Guilbaud et du mécanicien Rapin : 23000 kilomètres en 207 h 45 mn de vol. L'appareil dans le port de Marseille au retour.
• Les moteurs d'aviation Renault.
• Photo : Le moteur Renault de 450 CV direct
• Photo : Le moteur Renault de 550 CV direct
• Photo : Le Bréguet XIX à moteur Renault avec lequel, en 1927, le cpitaine Delaître et le lieutenant Blanchard ont respectivement remporté la coupe Michelin et la coupe Bréguet
• Photo : L'atelier de montage des moteurs d'aviation Renault
• Photo : Le moteur Renault 570 CV démultiplié
• Photo : Le moteur Renault 500 CV démultiplié

« Réclames » aéronautiques

• Carburateurs Zénith.
• Vêtements Burberrys.
• Moteurs d'aviation Renault.
• Moteurs Hispano-Suiza.
• Bougie Champion.
• Huiles et graisses Mobiloil.
• Carburateurs Claudel.

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