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La même en 800 x 520 - 24 ko
057clemenceau-1963-1965 Photo 53 (Dominique Ottello)

Première de couverture carte postale double

La même en 800 x 564 - 73 ko
058clemenceau-1963-1965 Photo 54 (Dominique Ottello)

Photo du Clemenceau à l'intérieur de la carte postale


La même en 800 x 736 - 51 ko
050clemenceau-1963-1965 Photo 55 (Dominique Ottello)

Ma « Quille ». Entièrement faite main, en février et mars 1965, dans l'atelier électricité avion où il y avait un tour. Socle feuilleté bakélite, plexiglas vert et feuille de cuivre. Fut en laiton avec feuilleté bakélite noire et orange. Ailes en dural plaquées d'une feuille de cuivre. Ancre en cuivre rouge avec pattes en bakélite. Médaille Clemenceau
La Quille était, à la fin du XIXe siècle, le bateau ramenant en France métropolitaine les forçats libérés du bagne de Cayenne. « Avoir la quille » signifiait alors « être libéré ». Dès le début du XXe siècle, la tradition de la quille symbole de libération atteint le monde militaire ; le terme se concrétise par une quille en bois de taille variée. Le jeu de quilles est alors à la mode chez les enfants et dans les campagnes françaises. La quille plus ou moins décorée, souvent coloriée aux couleurs du régiment, porte le nom du titulaire, le numéro de la classe d'incorporation, le numéro de la dernière unité, les étapes du service militaire... Des inscriptions et des dessins grivois : le conscrit libéré, après avoir été « bon pour le service armé » devient « bon pour les filles ».
Quant au « Père-Cent », il s'agirait d'une tradition de comptage des cent jours précédents l'arrivée de La Quille, car, une fois, ce bateau eut un retard de cent jours.

La même en 800 x 801 - 290 ko
051clemenceau-1963-1965 Photo 56 (Dominique Ottello)

Médaille Clemenceau


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