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Mes débuts à Air France

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Les années Vilgénis

Le 21 janvier 1946 à huit heures du matin j'étais convoqué à Air France au Bourget où je devais me présenter à un certain Jacques Sherer chef du service entretien des avions.

Je me levai à six heures, pris deux métros, un autobus, me payai un kilomètre de marche à pied et fus largement à l'heure.

Mon interlocuteur me reçut aimablement dans un bureau glacial ; Il avait quelques années de plus que moi, sortait de Sup Aéro et supposait que sortant de l'X je ne savais rien ce qui était strictement exact ; Il me proposa d'être l'adjoint d'un vieux compagnon mais me recommanda de ne rien dire surtout de mon statut d'ingénieur et de prétendre être un vague étudiant sans titre.

C'est ainsi que je fis mon entrée dans les ateliers sur la visite de 800 heures du DC 3 F. BAXA ; « Mais tu ne sais rien faire, qu'as-tu fait dans la vie » me dit mon compagnon devant mon incompétence ; J'avais tellement serré les boulons avant de mettre la goupille, qu'à l'essai on ne pouvait pas relever le train d'atterrissage de l'appareil ; Je bredouillai une réponse, disant que j'avais beaucoup glandé ; Il me regarda d'un drôle d'air.

Ainsi prit fin la période heureuse où après l'X on avait choisi notre voie ; Mes copains d'école s'étaient dispersés : Ben retournait à Alger pour seconder son père dans le commerce du sucre, Simonpiétri entrait au Métro et Du-manoir que l'on n'appelait que Dudu avait signé avec Schlumberger et partait à Maracaibo ; Il avait touché une avance consistante sur salaire ; Je le vois encore entrant dans ma chambre, les mains enfouies dans les poches de sa veille canadienne. « Regarde Bill, tout ça à dépenser avant mon départ » et en sortant les mains des poches de sa canadienne d'innombrables billets tombaient à terre !

Du coup on avait pris pension au restaurant en l'occurrence Roger la Grenouille où la table du fond nous était réservée tous les soirs et où nous faisions ripaille avec copains et copines aux frais de Dudu.

Le réveil était dur ; Les ateliers n'étaient pas chauffés et le matin avant d'aller sur l'avion on se retrouvait tous ensemble autour des braseros ; L'ambiance était chaleureuse, les plaisanteries, grasses mais innocentes et il faisait froid ; J'ai appris beaucoup de choses en quatre mois et je ne les ai jamais oubliées.

Un matin il n'y avait personne autour des braseros ; Ils savaient ! Le lendemain j'ai amené deux bouteilles de Champagne, un luxe à l'époque, tout fut oublié mais je dus raconter ma vie en détail : Les dures années de prépa, mes doutes, Jeunesse et Montagne, la Résistance, l'École, tout y passa et la vie reprit son cours comme avant.

Vingt-deux ans après je succédais à Sherer comme Directeur Général adjoint Technique ; À cette occasion je voulus revoir le compagnon dont j'avais été l'adjoint mais il était mort.

Je fus convoqué ensuite par Auguste Vivier Directeur du Matériel ; C'était un personnage ; Des vêtements étroits, un chapeau à bords roulés, un parapluie en toutes saisons, des yeux de merlan frit, un visage revêche, des maîtresses un peu partout, on m'avait prévenu de cet aspect rébarbatif ; En plus il fumait sans arrêt, on le sentait dès le couloir ; Mais c'était un visionnaire, il savait que le sort d'Air France était entre les mains des jeunes cadres, embauchés après la fin de la guerre.

L'entretien démarra mal « tu ne sais rien » me dit-il « on t'a un peu dégrossi dans les ateliers mais maintenant les choses sérieuses vont commencer, tu veux faire quoi ? » ; Ayant très vite compris mes réticences à me plonger dans la technique il me proposa, entre autres, les questions de formation ; À cette époque la formation était essentielle, on sortait du néant ; Je lui donnai mon accord ; Et là il se défoula.

« Air France c'est toi et tes copains, plus moi ; J'ai cinquante ans passés, je suis fatigué et il y a tant de choses à faire ; Il y avait avant guerre trois écoles d'apprentissage à Toulouse Marseille et à Paris ; On les a regroupées à Vilgénis ; Un de tes anciens en est le patron mais il n'a pas assez d'autorité et chacun garde ses privilèges ; De plus nos ateliers marchent mal : Les anciens s'accrochent à leur expérience, qui est maintenant dépassée et les jeunes ne savent rien ; Alors il faut prendre une grande cuillère et remuer toute cette merde pour faire avancer les choses » ; Il voyait clair et loin.

Pendant presque trois ans je me suis battu contre des moulins à vent et j'ai appris mon métier ; J'ai dirigé, entre autres, plusieurs stages d'Agents de Maîtrise et rédigé des appréciations percutantes que j'ai gardées ; En les relisant je suis surpris de la justesse de mes pronostics autant que par mon inconscience de jeune homme.

C'est aussi là que j'ai fait quelques cours aux hôtesses pour éviter qu'elles disent trop de bêtises aux passagers.

Stage hôtesses à Montjean

Là il faut faire un petit retour en arrière ; Avant mon embauche définitive j'avais suivi un stage au château de Montjean en internat auquel participaient des jeunes de mon âge ; Cela crée des liens ; Je me liai d'amitié avec le professeur d'Anglais, communiste à tous crins mais très sympathique et avec un anarchiste farfelu, mais drôle et cultivé ; Bien entendu j'étais toujours invité à la surprise Party de fin de stage d'hôtesses et mes amis, qui leur faisaient des cours tous les jours, me servaient un peu de rabatteurs : « Celle-là est en mains, celle-là est fleur bleue, celle-là est un peu conne » il les passait toutes en revue ; « Et Nicole Haudebourg » dis-je au professeur d'Anglais et il me répondit « oh celle-là, c'est la fille à épouser ! »


En avril 1949 Vivier me convoqua : « Ton copain à Vilgénis ne fait décidément pas l'affaire, avec lui tout le monde a raison, veux-tu prendre sa place et regrouper en plus l'instruction du personnel des ateliers ? tu te casseras probablement la gueule mais je serai là pour ramasser les morceaux ; Qui ne tente rien n'a rien, de plus, je te colle un adjoint, un Quatz'arts qui a une expérience aéronautique car il a quinze ans de plus que toi et a été avant guerre chez Dassault (qui s'appelait Bloch à l'époque) ».

C'est ainsi qu'en Mai 1949 je me retrouvai chef du Centre d'Instruction de Vilgénis nouvellement créé ; Au cours d'une séance mémorable, Vivier m'introduisit ; Tout le personnel était réuni et durant le trajet en voiture il m'avait rassuré : « T'en fais pas tout se passera bien. »

Ce fut une catastrophe, mon prédécesseur, avec qui pourtant j'avais de très bonnes relations, s'était fait porter pâle, les instructeurs étaient hostiles vis-à-vis d'un Directeur qu'ils ne connaissaient pas et Vivier fut très mauvais « c'est la merde ici il faut que ça change ; Rattier est chargé de ça, il y a des instructeurs qui ne font pas l'affaire il faut les déplacer voire les licencier » et il se mit à citer des noms dont Rebeyrol qui devint un ami et un collaborateur précieux ; Beaucoup plus tard, je devais le nommer chef du grand centre de Vilgénis, comprenant toute l'instruction du personnel navigant technique. « Rattier se cassera peut-être la gueule mais ce sera votre faute et j'en tiendrai compte. » J'étais effondré ; Dans la voiture, il me dit : « Je pense qu'ils ont compris ; Maintenant, à toi de jouer. »

Je passe sur le début, il avait tort sur les instructeurs mais raison sur les antagonismes ; Il y avait en fonction des origines trois clans d'instructeurs qui comprenaient en outre des communistes et des pétainistes, pas de matériel moderne, le château, qui avait reçu une bombe, des communs en ruines et des baraques non chauffées ce qui était limite pour un internat.

Avec Georges Cassou mon adjoint que j'ai installé dans mon bureau et avec qui pendant toute la durée de mon mandat nous n'eûmes jamais un désaccord ni un mot plus haut que l'autre, nous nous mîmes à la tâche.

Baptème B26 par Mme Rattier

Baptème du B26 « Gaston Le Morvan » par Mme Rattier

Je ne vais pas vous raconter ma vie, j'y suis resté cinq ans et j'évoque seulement les faits marquants ou drôles car le château fut réhabilité les communs, reconstruits, du matériel moderne, acheté aux domaines en particulier un bombardier B 26 dont maman fut la marraine, et les baraques chauffées ; Avec Cassou que ma jeunesse galvanisait nous avons même fait atterrir un Caudron Goéland devant le château ce qui frisait l'inconscience ; Quand j'allais à Orly pour acquérir du matériel moderne, le chef du service entretient des avions m'accueillait « tiens voilà Vilgénis les bains ! »


J'ai introduit le sport à l'école, tous les sports ; Il y avait deux cents apprentis, chacun devait choisir un sport de compétition ; Ce fut une révolution mais les résultats furent vite là ; L'équipe de football gagna et devait monter en catégorie supérieure ; On envisagea une équipe mixte composée d'apprentis et d'instructeurs et c'est là que l'on vint me solliciter ; J'acceptai de quitter l'équipe première d'Air France et de rejoindre celle de Vilgénis à condition que sur le terrain tout le monde se tutoie et que les différences soient gommées.

C'est ainsi que le matin en conseil de discipline, j'infligeais un blâme à un apprenti qui me serrait dans ses bras l'après midi après un but.

Orchestre de Jazz Jean Prunier

Je leur fis écouter de la musique classique ; Une fois par mois dans la grande salle du château un dénommé Serge Berthoumieux amenait son dispositif et tous les apprentis (c'était obligatoire évidemment) écoutaient une symphonie de Beethoven, un quintette de Schubert ou une fugue de Bach ; Vingt ans après, un ancien apprenti, devenu copilote, me le rappelait avec émotion.

Aiguille d'Argentière - Juillet 1953

Juillet 1953 - Aiguille d'Argentière. En bas, à droite, Jean-Louis Rattier

L'été il y avait des stages obligatoires de haute montagne ; Je connaissais le responsable de l'UNCM (devenu depuis l'UCPA) et l'on y allait gaiement ! si un apprenti n'a pas été tué par une pierre ou une chute c'est un miracle mais quand on est jeune on perd toute prudence ; J'allais par devoir, si l'on peut dire, les inspecter régulièrement et c'est ainsi que la première année de notre mariage Maman a fait Les Charmoz alors qu'elle n'avait jamais mis les pieds en montagne !


Le secrétaire du Comité d'établissement était le professeur d'Anglais : Un copain et un ennemi acharné ; Les séances étaient mémorables entre les communistes et les réactionnaires avec moi au milieu ; Il me prévenait à l'avance de ses attaques, d'autant plus redoutables qu'il avait plus de temps que moi pour préparer ma défense.

Le Comité d'Entreprise était également un champ clos où le Parti Communiste qui n'avait pas après la guerre, réussi à prendre le contrôle d'Air France comme il l'avait fait de l'EDF et de la SNCF, menait un combat permanent et systématique à la direction incarnée par Henry Ziegler.

Une année la « couleur » du Comité d'Entreprise dépendait de celle du Comité d'Établissement de Vilgénis ; Or, on savait que c'était 50/50, et même à l'article de la mort, ou simplement malade, tout le monde voterait ; Je fus convoqué par Ziegler en présence de notre avocat Maître Garnaud, un ténor du barreau qui s'écoutait parler en rejetant en arrière sa longue chevelure ; Il fallait que je vote mais je n'en avais pas le droit en tant que chef d'organisme ; « On perdra sûrement, la loi est la loi » disait notre avocat ; « Combien de temps peut durer la procédure » disait Ziegler ; « Au plus un an en y mettant le paquet » fut la réponse ; « Alors on y va » dit Ziegler.

Et voici comment ayant voté, le Comité d'Entreprise échappa à la CGT ; Ce fut homérique je fus traîné de procès en procès à Palaiseau à Versailles à Paris faisant l'andouille à chaque fois, assisté de maître Garnaud plaidant l'impossible, c'en était comique ! ; Mon adversaire l'avait bien compris « tu cherches à gagner du temps salopard, mais on va accélérer la procédure » ; Finalement on a perdu mais seulement quelques jours avant de nouvelles élections gagnées d'avance ; Mon adversaire fut sportif et admit sa défaite.

Instructeurs des premières promotions

Les Instructeurs des premières promotions. Encadrés, à droite par M. Jean-Louis Rattier (Polytechnicien - Chef de Centre) et à gauche par M. Georges Cassou (Arts et Métiers - Adjoint). Voir la promotion 1946-1949 pour plus de détails

Un des plus vieux instructeurs me battait froid car c'était un fidèle de mon prédécesseur mais il était compétent ; Je le convoquai et lui proposai d'être « inspecteur général de l'enseignement » directement rattaché à moi ; Il fut surpris s'attendant à tout autre chose ; Il fit merveille, autorisé à pénétrer sans prévenir dans toutes les salles de classe et me faisant rapport après avoir discuté avec l'instructeur intéressé.

Je suis submergé par les souvenirs, des anecdotes aussi me reviennent en mémoire.


Avant guerre le domaine de Vilgénis appartenait à un couple Américain les Corey ; Lui était un vieux monsieur, elle, beaucoup plus jeune, avait été danseuse ; Les matins de Printemps, je le tiens d'un témoin oculaire, elle galopait dans le parc, nue et à cru, sur un magnifique alezan brun ; Le témoin oculaire c'était le concierge, pas moi hélas.

Pour embellir un peu le centre, j'avais embauché un jardinier ; Je ne me souviens pas de son nom seulement de son prénom : Jean Marie ; C'était un être souffreteux, de petite taille, insignifiant ; Sa femme le quitta et certains soirs il ne pointait pas ; On le retrouvait ivre mort dans la cabane où il rangeait ses outils de jardin ; Le concierge le ramenait chez lui dans une brouette, sous les yeux narquois des apprentis ; Cela ne pouvait pas durer.

Je le convoquai et le menaçai de licenciement « si vous le faites, je me jette sous le train » et il pleura ; Il avait dû beaucoup boire pour se donner du courage ; Cassou et moi étions émus et l'avons réconforté en lui exprimant de bonnes paroles, il ne savait plus trop où il en était ; Pour sortir de mon bureau, la pièce où était mort Jérôme Bonaparte qui avait été propriétaire du château, il ouvrit d'abord la porte donnant sur nos manteaux « pardon monsieur » dit-il en la refermant ; Il trouva enfin la porte de sortie mais il y avait une grande glace au verso ; Il se vit dedans « pardon monsieur » dit-il à nouveau et il se retourna vers nous « comment je fais pour sortir... »

Mais sa femme revint et il but moins ; Je le convoquai à nouveau pour le féliciter ; Il arriva avec un énorme bouquet de fleurs que le centre par ailleurs payait à prix d'or « c'est pour Madame Rattier ! »

Je n'eus pas le courage de le rabrouer, on partagea le bouquet en deux avec Cassou et l'incident fut clos.

Un jour d'été mon copain anarchiste était pieds nus dans d'immondes sandales ; En plus ses pieds étaient sales. « Écoute lui dis-je tu ne peux pas faire tes cours avec des pieds aussi sales, lave-toi ou reste chez toi » le lendemain il avait lavé un pied ! Je me fâchai tout rouge et exigeai que le jour suivant il se présente à mon bureau le matin ; Une gravure de mode m'attendait dans le couloir j'eus peine à le reconnaître « j'ai choisi me dit-il puisque tu es à cheval sur la présentation et que pour toi la forme est plus importante que le fond, c'est ainsi désormais que je ferai mes cours » et il tint parole.

Pour le reste j'ai fait mon travail et au bout de cinq ans avec un nouveau Directeur Général j'ai demandé un rendez-vous pour faire le point ; Mais je voyais que je ne l'intéressais que moyennement ; Il m'interrompit : « Marion quitte la compagnie pour diriger son entreprise à Marseille, voulez-vous sa place comme chef du Service Programmes et Horaires directement rattaché à moi ; Je vous donne huit jours pour réfléchir » je répondis « quand on a mon âge et que l'on vous fait une telle proposition on n'a pas besoin de huit jours pour se décider je vous donne immédiatement mon accord. »

« OK, me répondit-il, vous commencez lundi » ; On était vendredi !

Quatre Chefs de Centre du CIV

Quatre Chefs de Centre successifs de Vilgénis en août 1967 - De gauche à droite : Jean-Louis Rattier (1949-1955), René Boeswillwald (1955-1963), Marcel Marceau (1963-1967), André Vignon (1967-1971)

Mon successeur fut nommé plus tard ; C'était mon contraire ; Il avait une quinzaine d'années de plus que moi, n'avait jamais pratiqué aucun sport, avait toujours froid et dès qu'il était dehors, gardait chapeau et foulard ; Mais en vérité, c'était un homme fin et plein d'esprit.

Je n'oublierai jamais son premier discours à la distribution des prix de fin d'année devant tous les pontes de la compagnie ; Il s'adressait aux apprentis : « J'ai mis longtemps à comprendre que les sigles PPH inscrits un peu partout voulaient dire : passera pas l'hiver et que les nombreuses inscriptions BSC signifiaient : bientôt sous les chrysanthèmes mais je garde un avantage décisif sur vous c'est que moi, je sais écrire chrysanthème. !!! » Il s'appelait Boeswilvald.Jean-Louis Rattier


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